Plateforme apprenante - LMS - en mode SAAS

L’explosion actuelle du marché du mode SAAS, dont l’acronyme signifie ‘’software as a service”, s’explique pour plusieurs raisons. Dans les faits, c’est un modèle d’exploitation commerciale qui caractérise les logiciels installés sur des serveurs distants plutôt que sur les machines de l’utilisateur final. Le client n’achète pas de licence d’utilisation, mais paye uniquement le service en ligne sous la forme d’un abonnement. Le client utilise donc librement les ressources logicielles, c’est la raison pour laquelle on l’appelle communément « logiciel en tant que service »...

Tout naturellement cette solution s’est emparée des plateformes apprenantes – LMS (Learning Management System) et s’oppose tout naturellement aux solutions précédemment utilisées, qui étaient des solutions hébergées en « mode licence » qui, outre le fait qu’elles rassuraient le client, correspondaient à un modèle connu.

Or, il s’avère que depuis plusieurs années, les choses changent. Sous la pression des financiers notamment, qui estiment qu’il est préférable d’inscrire des charges au bilan plutôt que des investissements.

Penchons-nous sur les raisons du succès du mode SAAS dans les organisations, et plus particulièrement, sur le succès de ce modèle dans le domaine des plateformes apprenantes (LMS) et autres portails de formation.

Ce qui ressort principalement des échanges avec les organisations, c’est avant tout le coût facial limité. Pas de matériels spécifiques ni de logiciels coûteux à acquérir. Par conséquent, pas de frais d’installation de matériels ni de logiciels à prévoir et donc, de moindres coûts de lancement.

Le second argument avancé par les organisations est le fait qu’il n’est pas nécessaire, dans le cas d’une solution en mode SAAS, de disposer en interne d’un personnel dédié. Outre le gain substantiel en masse salariale, l’organisation s’affranchit des contraintes : d’installation, de maintenance, de gestion et ce qui constitue de plus un plus un véritable casse-tête pour les organisations, la sécurité.

Un troisième argument, favorable au modèle « Services », concerne l’espace de stockage. Concrètement, c’est un argument qui n’apparaît que dans les entreprises qui ont déjà eu l’occasion de tester ces deux solutions. En effet, Le volume de données devient vite conséquent, et disposer de l’espace disque nécessaire dans son système cause des maux de tête aux responsables informatiques, et ce quelle que soit la taille de l’organisation. Sans oublier, les problématiques de bande passante - selon le nombre d’utilisateurs - et de sauvegarde qui y sont directement liées.

En 2013, 7% du data était stocké dans « le nuage », le Cloud. On estime qu’en 2016, ce chiffre devrait monter jusqu’à 26%.

Revenons à la sécurité, qui constitue aujourd’hui l’un des enjeux majeurs des organisations. Les moyens mis en œuvre par les gros acteurs sont considérables. Ces moyens affectés à la protection des données et à la sauvegarde par redondance sont mutualisés et significativement plus importants que tout ce qu’une organisation pourrait mobiliser à son niveau autour de ses ressources hébergées sur ses propres systèmes. Des PME/PMI, voire de toutes petites structures peuvent aujourd’hui s’offrir des niveaux de sécurité maximum, qu’elles ne pourraient se permettre avec un modèle hébergé sur leurs propres serveurs.

L’offre de plateforme apprenante en mode SAAS, dispose de canaux de transmission sécurisés et cryptés, parfaitement sûrs pour les informations échangées et stockées. Des services précis, des tarifs encadrés, permettent également aux organisations une gestion et une planification précise, même lors de montées en puissance importantes ou lors de changements de stratégie.

Enfin, dernier argument auquel organisations sont sensibles, l’accessibilité. À l’heure du « tout mobile » et de l’immédiateté de l’information, les plateformes et portails en mode SAAS permettent aux apprenants d’accéder à leurs ressources formatives et collaboratives, de n’importe quel endroit, à n’importe quel moment et sur n’importe quel terminal, fixe ou mobile. Attention toutefois, tous les fournisseurs de solutions plateformes ou portails, n’offrent pas cette possibilité.

Le développement des compétences est aujourd’hui un enjeu stratégique pour les organisations et ce, quelle que soit leurs taille ou leurs univers métier. En marketing, on entend souvent dire que ce qui est stratégique ne doit pas être sous-traité. Dans le cas présent pourtant, il y a un réel intérêt stratégique à s’appuyer sur des ressources plus performantes déployées par un tiers, car elles offrent des caractéristiques et des possibilités que peu d’organisations sont susceptibles de pouvoir se payer. Savoir-faire humain, infrastructures et logiciels, sont réunis chez un même prestataire qui présente l’avantage de pouvoir s’adapter en temps réel à la demande ou à l’utilisation qui en est faite.

A chaque besoin, son mode de consommation. N’hésitez pas à solliciter l’équipe IN OCTAVO Conseil pour vous aider à auditer votre projet de développement des compétences, afin de savoir ce qu’il convient de faire dans votre cas, selon les objectifs et les priorités qui sont les vôtres. 

Article remis par In Octavo Conseil. Source : 24x7learning.com.

78130 - IN OCTAVO CONSEIL http://www.communication-elearning-formation-paris.com


Voir toutes les newsletters :
www.haoui.com
Pour les professionnels : HaOui.fr