J'ai dû rêver trop fort

Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente. Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ? Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ? Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?... 

En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, « J’ai dû rêver trop fort » déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort. 

Michel Bussi, l’auteur
Professeur de géographie à l’université de Rouen, spécialiste de la géographie électorale. 2e auteur français le plus lu en France en 2018 (Palmarès Le Figaro : GFK). Ses ouvrages sont traduits dans 35 pays (100 000 exemplaires d’Un avion sans elle vendus en Chine…) et les droits de ses romans ont été vendus pour le cinéma et la télévision. Il est l’auteur aux Presses de la Cité de Nymphéas noirs, polar français le plus primé en 2011, Un avion sans elle, Ne lâche pas ma main, N’oublier jamais, Gravé dans le sable, Maman a tort, Le temps est assassin, On la trouvait plutôt jolie, Sang famille et, aux éditions Pocket, de T’en souviens-tu, mon Anaïs ?. Il a également publié une version enrichie de Code Lupin (Editions des Falaises) et Les Contes du réveil matin (Delcourt). 

Editions Presses de la Cité. 480 pages. 21,90 €.